samedi 9 août 2025

'Facteurs naturels d'hydratantation, Phytocéramides' par The Ordinary - Un soin avant-gardiste pour renforcer la barrière cutanée

 

1. Présentation du produit et principes actifs

Le Facteurs naturels d'hydratantation de The Ordinary constitue un soin innovant ciblant l’hydratation et la réparation de la barrière cutanée. Ce concentré associe des phytocéramides, composants d’origine végétale, aux facteurs humectants essentiels constituant le Facteurs naturels d'hydratantation de The Ordinary

Ces éléments se rencontrent naturellement dans la surface de la peau et sont reconnus pour retenir l’eau et maintenir le confort cutané. L’intégration de tels agents favorise l’équilibre lipidique, améliore la souplesse et réduit la déshydratation. 

Le produit s’adresse aux peaux fragilisées, sèches, sensibles ou altérées par des agressions environnementales. L’utilisation régulière optimise l’hydratation, soutient le renouvellement cellulaire et renforce la résistance aux irritations.

 

2. Bénéfices démontrés et mécanisme d’action

1.    Rétention d’hydratation durable
Grâce aux facteurs humectants issus du NMF, une hydratation en profondeur est assurée. Les molécules comme les acides aminés, l’urée, le PCA (pyrrolidone carboxylique) assurent la capacité à attirer et retenir l’humidité dans les couches superficielles de l’épiderme.

2.    Réparation de la barrière cutanée
Les phytocéramides complètent la structure lipidique, comblant les lacunes de la barrière. Résultat : réduction des pertes transépidermiques en eau, diminution du rougissement et renforcement de la fonction protectrice contre les agressions externes.

3.    Amélioration de la texture et lisibilité du teint
Une peau mieux hydratée se traduit généralement par une surface plus lisse, plus lumineuse et moins sujette à l’irrégularité. L’action conjointe des humectants et des phospholipides végétaux contribue à atténuer les zones rugueuses et l’apparence terne.

4.    Compatibilité avec d’autres soins
La formulation s’intègre facilement à une routine visage, sans interférer avec d’autres actifs. Sa texture fluide et légère facilite l’association avec des sérums, crèmes hydratantes ou écrans solaires, et convient à tous les types cutanés.

 

3. Mode d’emploi et conseils d’utilisation

Pour en tirer le meilleur parti, le produit se dépose sur une peau propre, idéalement légèrement humide. L’application régulière matin et soir stimule l’efficacité des ingrédients hydratants. L’ordre recommandé :

  • Utiliser un nettoyant doux, adapté  à votre peau ;
  • Application du Facteurs naturels d'hydratantation de The Ordinary (après avoir utilisé un sérum);
  • Suivi d’un soin hydratant crémeux ou d’une huile non comédogène ;
  • Protection solaire le matin, essentielle pour préserver l’effet réparateur.

Quelques conseils supplémentaires : conserver le flacon à l’abri de la chaleur et de la lumière, bien refermer après usage, éviter le contact avec les yeux. Ces précautions garantissent la stabilité des actifs et une expérience optimale.


4. Études, retours utilisateurs et positionnement sur le marché

Des retours d’utilisatrices rapportent une amélioration notable de l’hydratation durable dès les premières semaines d’usage. Les phytocéramides, souvent issus d’extraits végétaux comme le son de riz, proposent une alternative efficace aux céramides synthétiques ou animales, très prisée par les consommateurs à la recherche de soins respectueux. 

Au niveau scientifique, les phytocéramides renforcent l’intégrité de la couche lipidique, tandis que les NMF constituent les principaux agents d’hydratation naturelle. Le produit s’inscrit ainsi dans le segment skincare de haute performance, accessible, sans parfum et sans agents irritants, typique de la marque The Ordinary.

 

5. Une routine efficace

Le Facteurs naturels d'hydratantation de The Ordinary s’intègre aisément à toute routine de soin. 

L’association avec des soins complémentaires (acide hyaluronique, céramides, AHA/BHA selon tolérance) renforce l’efficacité transversale, pour une peau souple, confortable et mieux protégée au quotidien.

 


Questions fréquentes (FAQ)

1.    Que sont les facteurs naturels d'hydratation, Phytocéramides?
C’est un soin hydratant combinant des composés humectants naturels (facteurs d’hydratation) et des phytocéramides d’origine végétale, visant à réparer et renforcer la barrière cutanée.

2.    À quel type de peau ce produit convient-il ?
Il convient aux peaux sèches, sensibles, fragilisées ou altérées, ainsi qu’à celles cherchant une hydratation durable sans film gras.

3.    Comment agit-il sur l’hydratation de la peau ?
Les composants humectants attirent l’eau, tandis que les phytocéramides renforcent la barrière lipidique, limitant ainsi les pertes en eau et renforçant la rétention hydrique.

4.    Est-il compatible avec d’autres soins ?
Oui. Sa texture fluide se marie bien avec sérums, crèmes hydratantes ou écrans solaires, intégrable matin et soir.

5.    Quand les bénéfices se manifestent-ils ?
Des sensations de confort et de souplesse apparaissent souvent dès la première semaine, les effets sur la texture et l’hydratation durable s’affirment en deux à quatre semaines d’usage régulier.

6.    Existe-t-il des contre-indications ?
Aucune particulière, sauf hypersensibilité à un des composants. Une zone test est recommandée en cas d’antécédents de réactions.

7.    Le produit est-il formulé sans parfum ni agents irritants ?
Oui. Il est conçu pour minimiser les risques, en respectant les peaux sensibles.

8.    Peut-il remplacer une crème hydratante ?
Non. Il s’utilise en complément : ses actifs soutiennent la peau, mais une crème occlusive ou nutritive reste utile pour sceller l’hydratation.

9.    À quelle fréquence faut-il l’appliquer ?
Deux fois par jour : matin et soir, après nettoyage et avant la crème de finition ou protection solaire le matin.

10.     Pourquoi choisir ce soin plutôt qu’un produit à base d’acide hyaluronique ?
Les NMF et phytocéramides ciblent la rétention hydrique et la réparation de la barrière lipidiqu e, alors que l’acide hyaluronique attire l’eau principalement dans la surface. L’association peut être complémentaire, mais ce soin seul offre une protection structurée et réparatrice.

 

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mercredi 6 août 2025

Comment l'alimentation influence la santé cérébrale et la prévention de la démence

 

Comprendre comment certains aliments affectent rapidement les niveaux de cholestérol et de graisses dans le sang est essentiel pour protéger la santé du cerveau et prévenir les maladies neurodégénératives. Certains aliments, tels que le beurre sur du pain blanc, le lait de coco, le poulet frit ou les noix, influencent différemment le métabolisme des graisses, impactant ainsi l'énergie ou la structure cérébrale. 

Savoir distinguer les graisses utiles pour le bon fonctionement du cerveau de celles utilisées comme source d’énergie est fondamental pour optimiser la fonction cognitive, l'humeur et éviter la démence.


1. Structure du cerveau : eau contre matières grasses

Le cerveau humain, mesurant en moyenne 14 cm de large, 16,5 cm de long et 9 cm de haut, pèse environ 1,4 kilogramme. Contrairement aux impressions, la graisse ne représente qu'environ 11 % de son poids total ; l'eau compose près de 75 % de l'organe. Par conséquent, une hydratation suffisante au quotidien est plus cruciale que la consommation de graisses pour maintenir immédiatement les fonctions cérébrales.

La barrière hémato-encéphalique (BHE) agit comme un filtre très sélectif qui contrôle ce qui pénètre dans le cerveau. L'eau traverse aisément cette barrière, alors que la majorité des graisses, y compris les triglycérides et le cholestérol sanguins, ne peuvent la franchir que si elle est endommagée. Préserver l'intégrité de la BHE est indispensable pour protéger le cerveau contre les toxines et les graisses instables.


2. Différence entre les graisses cérébrales et corporelles

La graisse corporelle, notamment la graisse abdominale, stocke principalement des triglycérides destinés à produire de l’énergie. À l’opposé, le cerveau repose sur des graisses structurelles telles que :

·        Les phospholipides (30 %)

·        Les sphingolipides (25 %)

·        Le cholestérol (25 %)

·        Les acides gras polyinsaturés oméga-3 et oméga-6 (15 %)

·        Les graisses monoinsaturées (le reste)

Les triglycérides, malgré leur abondance dans le corps, n'interviennent pas dans la construction du cerveau. Ils ne pénètrent pas directement dans le cerveau et sont utilisés uniquement pour produire de l'énergie sous forme de glucose ou de corps cétoniques. Un excès de triglycérides dans le sang favorise la production de LDL oxydé, responsable de l’inflammation vasculaire, de l’athérosclérose et de la démence vasculaire.


3. Santé vasculaire et risque de démence

Les accidents ischémiques silencieux résultant du blocage des petits vaisseaux cérébraux, tout comme les AVC majeurs dus à l’obstruction des grosses artères, sont fortement liés à la démence. Les signes précurseurs de déclin cognitif peuvent apparaître des décennies avant un diagnostic formel.

Un LDL élevé endommage les vaisseaux sanguins sans pour autant alimenter directement le cerveau en cholestérol. Le cerveau synthétise son propre cholestérol à partir d'acétyl-CoA, indépendamment du cholestérol sanguin. Ce processus autonome est vital pour maintenir la structure et la fonctionnalité cérébrales.


4. Fonctionnement du cholestérol dans le cerveau

Environ 25 % du cholestérol total du corps est concentré dans le cerveau, tandis que le sang n’en transporte que 20 %. Cela prouve que le cerveau ne dépend pas de l'apport sanguin pour son cholestérol. Deux types d'acides gras essentiels, que le cerveau ne peut produire lui-même, doivent impérativement provenir de l'alimentation : les oméga-3 (particulièrement le DHA) et les oméga-6.

Une idée fausse fréquemment véhiculée prétend qu’un taux élevé de LDL serait bénéfique pour la santé cérébrale. En réalité, un excès de LDL favorise les lésions vasculaires sans soutenir la fabrication du cholestérol cérébral. Seule une rupture de la BHE permettrait au cholestérol sanguin de pénétrer le cerveau, un événement pathologique extrêmement grave.

Par ailleurs, certains médicaments hypocholestérolémiants, notamment les statines lipophiles, peuvent traverser la BHE et affecter temporairement la production de cholestérol cérébral et de CoQ10, essentiel au bon fonctionnement mitochondrial du cerveau.


5. Impact de l’alimentation sur les graisses sanguines

Certains aliments sont particulièrement efficaces pour élever les taux de cholestérol et de triglycérides sanguins en quelques heures, notamment :

·        Le beurre

·        La crème de coco

·        Le poulet frit

Même des aliments pauvres en graisses, comme le pain blanc, peuvent indirectement augmenter les triglycérides, car l’excès de sucre est converti en graisses.

À l'inverse, les noix, riches en oméga-3, apportent des graisses nécessaires à la structure cérébrale. Tous les types de graisses n’ont donc pas le même impact.

La santé de la BHE dépend étroitement de celle des vaisseaux sanguins. Le maintien d’un taux de LDL bas, une hydratation adéquate, l'apport suffisant en oméga-3 et oméga-6, ainsi que la limitation de la consommation de graisses saturées sont des stratégies efficaces pour prévenir l'inflammation cérébrale et les risques de démence.

 


10 Questions-Réponses sur l'Impact des Graisses sur le Cerveau

1. Quels aliments augmentent rapidement le cholestérol sanguin ?
Le beurre, la crème de coco, le poulet frit et les produits riches en sucres rapides comme le pain blanc.

2. Le cholestérol sanguin influence-t-il le cholestérol cérébral ?
Non, le cerveau produit son propre cholestérol indépendamment du sang.

3. Quelle est la principale composante du cerveau en dehors de l’eau ?
Les graisses structurelles telles que les phospholipides, sphingolipides et cholestérol.

4. Quels acides gras sont indispensables à la santé cérébrale ?
Les oméga-3 (notamment DHA) et oméga-6.

5. Que se passe-t-il en cas d’excès de triglycérides sanguins ?
Cela favorise l'inflammation vasculaire, l'athérosclérose et augmente le risque de démence.

6. Comment la barrière hémato-encéphalique protège-t-elle le cerveau ?
Elle régule l'entrée des substances, empêchant les toxines et certaines graisses de pénétrer.

7. Quels médicaments peuvent affecter le cholestérol cérébral ?
Certaines statines lipophiles, en traversant la barrière hémato-encéphalique.

8. Quels aliments protègent la santé cérébrale ?
Les poissons gras, les noix, les graines de lin et une alimentation riche en antioxydants.

9. Comment prévenir la rupture de la barrière hémato-encéphalique ?
En maintenant un LDL bas, en évitant l’inflammation chronique et en suivant une alimentation équilibrée.

10. La démence peut-elle être liée à une mauvaise alimentation ?
Oui, une alimentation riche en graisses saturées et en sucres rapides favorise le déclin cognitif.

 

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